En cas d’autorisation, le daratumumab deviendra la première option thérapeutique autorisée pour les patients atteints d’un myélome multiple indolent et présentant un risque élevé de développer un myélome multiple, offrant le potentiel de blocage de la progression de la maladie1
Les résultats d’études croisées de l’association ibrutinib et vénétoclax en première intention montrent un bénéfice clinique significatif pour une durée fixe, ainsi qu’une probabilité accrue de maladie résiduelle minimale indétectable et de survie sans progression par rapport à l’association acalabrutinib et vénétoclax1